Deux rendez-vous : 10h devant la gare Nice-Ville et 10h à Valbonne carrefour des Messugues
CGT Educ’Action 06 – 34 boulevard Jean JAURES – 06300 NICE
Le budget d’austérité du gouvernement, c’est encore les salarié·es, jeunes et retraité·es qui trinquent. Gel des salaires dans la fonction publique, blocage des pensions des retraites, hausse des franchises médicales, coupes dans les services publics…
Assumant une politique de l’offre et du ruissellement faisant la part belle au Capital, E.Macron et ses gouvernements, année après année, imposent des budgets austéritaires faits de réduction des recettes fiscales/dépenses de l’État.
Budget 2026 : pas question de passer à la caisse ! Télécharger le tract
Au-delà des effets de communication, le Premier ministre ne marque aucune rupture et maintient des mesures inacceptables : gel des pensions de retraite, baisse des prestations sociales, suppressions de postes dans la fonction publique… et rien de précis sur une énième casse de l’assurance chômage !
Sous la présidence Macron, peu importe qui dirige le gouvernement ou les résultats électoraux, la politique budgétaire fait la part belle aux plus riches tout en imposant l'austérité, la précarisation et l'injustice sociale-fiscale aux travailleur·euses.
La journée d'action et de grève du 18 septembre a été une réelle réussite qui a permis de mobiliser pour une meilleure justice fiscale et sociale, dans nos établissements, écoles et services par une grève particulièrement suivie dans notre secteur
Ministre de la Fonction Publique dans un gouvernement Barnier « sous surveillance » de l’extrême droite, Guillaume Kasbarian s’est illustré dans les débats budgétaires en s’attaquant violemment aux fonctionnaires sous prétexte de la situation budgétaire de la France.
Un budget loin de traduire une ambition éducative, un état de fatigue de tous les personnels jamais atteint, un épuisement dû à des années de dégradation des conditions de travail... Les personnels de l’Éducation expriment de fortes attentes et ont des exigences. Cependant, entre atermoiements et improvisation permanente, Jean-Michel Blanquer reste sourd à leurs aspirations et à nos revendications.
